Ce n’est pas parce que Mélopie est partie chercher des petits œufs dans les jardins, qu’il faut arrêter de faire de la musique.

D’ailleurs, la voilà enfin de retour dans ces belles journées de printemps.

Elle a peut-être croisé un célèbre amoureux de la Nature, en la personne de Ludwig van Beethoven qui écrivait :

Quel plaisir alors de pouvoir errer dans les bois, les forêts, parmi les arbres, les herbes, les rochers. Personne ne saurait aimer la campagne comme moi. Les forêts, les arbres, les rochers nous rendent en effet l’écho désiré.

Symphonie n° 6 en fa majeur, opus 68 dite « Pastorale » de Beethoven par Herbert von KARAJAN

Regardez cette version par le Berliner Philarmoniker et mise en image d’une manière à la fois didactique et très soignée, construite comme une médiation. Le spectateur est au cœur de l’orchestre, attentif au moindre geste, à la moindre respiration. Par la pensée, Karajan semble sculpter la musique exhalée par un orchestre au diapason.